test de laboratoire t3 inversé

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Testostérone Wikipédia

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Réponses de Charlotte Methorst, chirurgienne urologue membre de l’Association française d’urologie (AFU) et de la Société d’andrologie de langue française (SALF). Certaines personnes cherchent à augmenter leur taux de testostérone pour améliorer leur santé globale, leur libido, leur masse musculaire ou encore leur humeur. Des mesures d’hygiène de vie peuvent aider à maintenir des bons niveaux de cholestérol dans le sang, comme la réduction de sa consommation d’alcool, de son stress, améliorer sa qualité de sommeil et pratiquer une activité physique régulière. Ces mesures participent aussi au maintien d’un bon état de santé général.

C’est une hormone fabriquée principalement par les testicules chez l’homme. Elle joue un rôle important dans la fabrication de nouveaux globules rouges, l’augmentation de la masse et de la force musculaire, la santé sexuelle ainsi que le maintien de la production de sperme et l’amélioration de la densité osseuse. Plusieurs études ont démontré que des pesticides dans l’agriculture intensive, en plus de produits chimiques dans la vie moderne, ont contribué à la baisse générale des niveaux de testostérone[28] (et de la fertilité masculine) mondiale. Une étude démontre que les hommes avec les concentrations les plus élevées de pesticides dans leurs corps avaient 10 % moins de testostérone que ceux avec les moindres concentrations[29].

Cette hormone fait que l’homme est un homme », résume le Pr Jacques Young, endocrinologue à l’hôpital universitaire de Bicêtre (Kremlin-Bicêtre, 94). La testostérone est dosée grâce à un prélèvement sanguin, effectué au pli du coude. Comme l’œstrogène est important pour la santé des os chez la femme, la testostérone est importante pour la solidité des os chez l’homme, au risque d’encourir un risque accru d’ostéoporose et de fractures. L’ensemble des données concernent les hommes ayant un taux bas de testostérone. Sous forme de comprimés, la testostérone est d’efficacité très variable[57] et n’est pas disponible dans tous les pays.

Elle circule dans le sang sous deux formes, l’une liée à des protéines de transport (30 à 40 % liée à l’albumine et 60 à 70 % liée à la SHBG ou TeBG et la SBP), l’autre libre. Il semble important de clarifier l’amalgame trop souvent fait entre la libido et le désir, deux éléments pourtant distincts. La libido fait référence au substrat biologique alors que le désir interpelle le substrat psychique. La libido résulterait d’une balance entre des mécanismes excitateurs (dopamine, testostérone, œstrogènes) et inhibiteurs (sérotonine, prolactine, opioïdes) au niveau central.

Une diminution de la libido s’accompagne parfois de la baisse de la testostérone, conduisant de nombreux hommes à croire à tort que leur perte d’intérêt pour le sexe est simplement due au vieillissement[16]. Chez les femmes, la quantité de testostérone circulante diminue aussi avec l’âge, ce taux étant divisé par deux entre 20 et 40 ans, avec une baisse progressive et constante par la suite. Comme la plupart des hormones, la testostérone est amenée aux tissus cibles par le sang, dans lequel elle est liée à des protéines plasmatiques de transport spécifiques, la globuline liant les hormones sexuelles (SHBG), la transcortine (CBG) et l’albumine sérique[12]. Seules la testostérone libre et la testostérone liée à l’albumine sont considérées comme étant biodisponibles (la part liée à l’albumine étant disponibles pour les cellules cibles)[12]. Il existe un équilibre entre la fraction de testostérone fixée sur la SHBG et la fraction libre. Lors du vieillissement, la sécrétion de testostérone par les cellules de Leydig se réduit.

Interdit depuis 1984, l’apport de testostérone exogène est détectable par une analyse qui mesure le rapport testostérone/épitestostérone (proche de 1 pour 90 % des individus). De 1984 à 2004, des rapports T⁄E jusqu’à 6 étaient tolérés, en 2004 cette limite est descendue à 4.[réf. Avec l’âge, on assiste à une diminution progressive de la production de testostérone chez la femme. Bien que ménopausée, et même si la production ovarienne des œstrogènes est abolie, les ovaires et les glandes surrénales conservent une capacité à produire de la testostérone. Dans le cas d’une ménopause chirurgicale, on assiste à une diminution plus importante du taux de testostérone, de l’ordre de 50 % par rapport aux femmes avec une ménopause naturelle. Comme vous le savez, le sommeil est essentiel pour notre santé hormonale. Des études montrent que la privation de sommeil ou la mauvaise qualité du sommeil peut réduire le taux de testostérone.

Chez l’homme, la testostérone et les autres androgènes induisent et régulent la différenciation et le développement des organes de reproduction. La testostérone est une hormone sexuelle, ou un “stéroïde sexuel”, de la famille des androgènes. Sa production s’arrête à la naissance puis reprend lors de la puberté. Elle a en effet un rôle dans l’apparition des caractères sexuels secondaires (pilosité, changement de voix, accroissement du pénis). La testostérone influence également la spermatogénèse, la production de spermatozoïdes dans les testicules.

Contrairement à une croyance populaire, la testostérone n’est pas associée à une augmentation de l’agressivité sauf l’agressivité territoriale chez les animaux. Cependant, elle est associée à la compétition sociale et aux comportements de dominance. Elle augmente durant l’anticipation d’activités sportives et après la victoire. Elle réduit le réflexe de sursaut et l’orientation aux stimuli aversifs. Le stress chronique peut aussi contribuer à réduire les effets de la testostérone ! L’excès de cortisol (l’hormone du stress) peut interférer avec la production de testostérone et ainsi réduire la libido, affecter le stockage des graisses et altérer notre sommeil.

L’efficacité et la tolérance du traitement s’évalueront généralement entre 3 et 6 mois après l’initiation thérapeutique. Et outre le dosage biologique de la testostérone, une réévaluation clinique complète du patient sera nécessaire, sachant que certains symptômes peuvent mettre plus de temps à s’améliorer. Les hommes ayant des concentrations salivaires plus élevées de testostérone sont plus régulièrement identifiés comme « masculins » mais pas systématiquement comme « attirants ». Les taux normaux de testostérone circulante (ou plasmatique, ou sérique) varient fortement avec l’âge, et se situent dans des fourchettes assez larges[12].

La consommation modérée d’alcool augmente la concentration plasmatique de sulfate de déhydroépiandrostérone (SDHEA) de 16,5 % (intervalle de confiance de 95 %, 8,0-24,9), avec des changements similaires chez les hommes et les femmes. Les changements relatifs induits par l’alcool dans la SDHEA, la testostérone et l’œstradiol sont corrélés positivement avec l’augmentation relative du cholestérol des lipoprotéines de haute densité[27]. Le but est surtout d’évaluer le risque d’hyperandrogénie, c’est-à-dire d’excès d’hormones mâles, pouvant causer des troubles des menstruations, de l’acné, de l’hirsutisme, etc. Chez la femme, les effets sur l’axe gonadotrope sont l’hirsutisme, une pilosité faciale, une voix plus rauque, une hypertrophie clitoridienne, des troubles du cycle (oligoménorrhée ou aménorrhée), atrophie mammaire et calvitie de type masculine[71]. Le risque de cancer de la prostate ne semble pas plus élevé chez la population traitée[70]. Le traitement substitutif peut élever très marginalement le taux de testostérone et pilosité de PSA[71].

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